« [...] Avec Wild Cat, il propose ainsi une pièce où la douceur, la caresse presque, fait du hip-hop une expérience de la suspension. [...] Si chaque danseur déploie tour à tour des morceaux d’excellence, c’est pour mieux être porté par un groupe. Un groupe qui le suit alors, comme magnétisé. Formant un ensemble cohérent, où chacun prend le relais de l’autre. Structure souple : les interprètes vont et viennent au gré des énergies (y compris dans la distribution). Et le spectacle peut tout autant se jouer sur la scène d’un théâtre que sur une place publique. Laissant l’égocentrisme (ou personal branding) au vestiaire, Wild Cat intensifie la sensualité du hip-hop. [...]»